Tokyo High School
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Une école pas comme les autres ou un groupe de 5 élèves fait la loi !
 
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 Setsuna Alellujah Yamato

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AuteurMessage
Setsuna A. Yamato
Setsuna A. YamatoMessages : 86
Date d'inscription : 01/01/2011
Age : 33

Feuille de personnage
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○ Relations ○:
○ Statu rp ○: Disponible
MessageSujet: Setsuna Alellujah Yamato   Setsuna Alellujah Yamato Icon_minitimeSam 1 Jan - 17:06

Présentation de Setsuna Alellujah Yamato
Ma vie est un sombre donjon, où seul mon cœur ensanglantée par la douleur, rouge flamboyant, dessine mon ombre malheureuse sur les murs de ma prison.


→ Nom & Prénom :
Setsuna Alellujah Yamato
→ Age :
17 ans
→ Sexe :
Masculin
→ Ses Passions :
La musique, les jours de neige & les after.
→ Ses Phobies :
Les bestioles gluantes, les souris, les silences pesants & les endroits clos.
→ Ses Buts :
Eh bien... réussir ses études et peut-être à être heureux ?
→ Son mental en quelques mots :

Manipulateur - Compréhensif - Fidèle - sarcastique - Observateur - Protecteur.
→ Son groupe :
Les Googais
→ Sa classe :
Cinquième.
→ Le perso sur votre avatar :
Rayne de Neo Angelique Abyss


Histoire de Setsuna Alellujah Yamato

    We then realize the insignificance of the life
    And of the suffering which it brings...

    Once upon a time...

    Maman me sourit mollement, mais en même temps, elle chasse mes doigts curieux qui vagabondent sur son tableau fraîchement peint. J’ai toujours adoré les peintures de ma mère. Elle faisait toujours passer un message et même si je les comprenais rarement, je persistais. Celui-ci était particulièrement complexe et j’avais beau le regarder sous tous les angles, je n’arrivais pas à percer son secret.
    « - Tu veux bien me laisser le finir, Setsu ? » Dit-elle en tirant la toile vers elle.
    « - Papa, il rentre quand ? »Elle soupire et je vois à son regard qu’elle cherche une réponse qui ne me fasse pas trop de peine. Papa n’est jamais là. Il ne me parle quasiment jamais. Et quand il est là, il reste enfermé dans son bureau sans dire un mot à personne. À l’école, j’attends les autres enfants raconter avec suffisance que ce dernier week-end, ils ont joué au base-ball avec leur père ou je ne sais quelle autre activité que mon père n’a encore jamais pratiqué avec moi. Je sens des larmes me piquer les yeux et sans un mot de plus, je tourne les talons. C’est toujours comme ça. Il n’est jamais là. Pour quoi posais-je encore la question alors que je connais la réponse d’avance ? Ma mère est ma seule et unique famille… Je ne veux pas de ce père toujours absent. Je ne veux pas d’un père qui se fiche de moi et de mes bons sentiments. Qu’il ait au diable ! Je me mords la lèvre, gêné d’avoir pensé ainsi. Mais les remords disparaissent lorsque j’entre dans la pièce. Cette pièce, elle est spéciale. C’est ma pièce et avant elle appartenait à mon père. C’est une haute salle dont le plafond semble aussi haut que le ciel, les murs sont blanc cassé et une odeur fruitée flotte dans l’air. Le mur droit est entièrement effacé derrière deux grandes bibliothèques. L’une est consacrée à divers livres de partitions et biographies d’auteurs, compositeurs ou musiciens connus ou non. L’autre est tapissée de cassettes magnétiques et de CD de notre époque, autant de musique classique que contemporaines. Le mur face à moi est, en fait, un immense miroir. Devant le mur du fond, les instruments de musique sont disposés avec minutie et au centre, un piano a queue blanc. C’est sans doute la seule chose que mon père et moi ayons en commun. Cette salle insonorisée. Nous y avons tout deux appris à jouer de la musique et lorsqu’il est à la maison, il vient ici. Sauf qu’il prend toujours soin de vérifier que je n’y suis pas déjà et de verrouiller la porte derrière lui.
    Je ferme la porte, m’avance vers le piano et effleure les touches du bout des doigts. Après un instant de réflexion, je me laisse tomber sur le tabouret délicieusement rembourré de cuir. Je pense à mon père, à son absence, au vide qu’il laisse dans ma vie et celle de maman, et ainsi mes doigts amorcent le début des notes de la Fantasie-Impromptu de Frédéric Chopin. À onze ans, le seul souvenir que j’ai de mon paternel, c’est qu’il sait jouer du piano et du violon. Lorsque mes doigts s’arrêtent, j’entends un léger frottement derrière moi. Je sais que c’est ma mère car son parfum fleuri vient se mêler à celui qui embaume la pièce. Je me retourne et la vois, ses yeux remplient d’un amour farouche fixé sur moi. Même si je n’ai pas de père, j’ai une mère. Une mère en or.
    Seulement, alors que les mois s’accumulent, Anna-Maria, le prénom de maman, semblait perdre lentement toute la vie qui battait en elle. Son teint était devenu livide, son corps osseux et son regard avait perdu le pétillement effronté, malicieux, qui scintillait il y a encore quelques semaines. Et du jour au lendemain, elle fut hospitalisée dans l’hôpital de Tokyo pour ne plus en sortir. Encore aujourd’hui, je n’arrive pas à expliquer ce que j’ai ressenti en la voyant s’éteindre à petit feu devant mes yeux, impuissant. De la trahison. De la colère. De la peur. De la résignation. De la frustration. Elle m’abandonnait. Son corps était relié à d’innombrable machine qui bipait à tour de rôle. Des aiguilles étaient plantées dans le creux de ses bras et un masque à oxygène avait récemment été ajouté à son attirail. « Métastases osseuses. » C’est le mot que les médecins avaient employé. Et à cause de ce simple mot, tout avait basculé dans l’enfer.
    « - Tu vas mourir, maman ? » Lui avais-je demandé, attisant l’espoir qu’elle me sourît et qu’elle ne me réponde pas par la positive.
    Mais son regard s’était perdu dans le lointain et elle avait resserré son étreinte sur ma main.
    « - Si, mon chéri. Je vais mourir. »
    Pourquoi ? Avais-je eu envie de lui demander, mais les mots moururent sur mes lèvres. Les larmes me brûlaient à nouveau les yeux et la frustration m’envahit, encore.
    Trois jours plus tard, j’étais debout devant un cercueil ouvert, où ma mère reposait, ses cheveux roux, pareils aux miens, disposés en éventail autour de sa tête. Elle semblait paisible, rêvée de quelque chose de magnifique. Mais jamais elle ne se réveillera. Anna-Maria Yamato était morte. Mon père était non loin de moi, regardant solennellement celle qui avait été sa femme et qui avait stoïquement supporté ses nombreuses absences.


Who had believed that he would change?
I admit it, I had kept hope...

Alone and depraved...


C’est un jour comme tous les autres. Long, éprouvant et marqué de souvenirs d’Anna-Maria. Pourtant, comme chaque jour, lorsque je franchi les grilles du lycée, je cherche le visage – toujours aussi peu familier – de mon père. Aujourd’hui, encore, il n’est pas là. Il n’est jamais là. Je dis rapidement au revoir à mes amis et me dirige vers la longue berline noire aux vitres teintées. Un homme en sort et prend mon sac avec le traditionnel « bonjour, Monsieur Setsuna. Vous avez eu une bonne journée ? » et comme chaque jour, je me contente de me glisser sur les sièges en cuir beige. C’est ainsi depuis six ans. Depuis qu’Anna-Maria nous a quittés. Une fois que j’eu accompli mon deuil, j’avais espéré que mon père s’occuperait de moi. Réussirait à m’incorporer dans ses journées, à me prendre en considération. Mais rien n’avait changé. Ma vie avait juste perdu son sens. La maison avait juste semblé plus vide. Mais les kilomètres qui nous séparaient mon père et moi étaient restés inchangés. Peut-être avaient-ils même augmenté ? Tous les tableaux de maman avaient disparu, tous souvenirs d’elle avaient été annihilés, à la manière d’une dératisation. Les employés de la maison avaient tant bien que mal tenté de prendre sa place auprès de moi. C’était Jerry, le voiturier, qui venait me chercher à l’école et sa femme, Helena, qui était venu me border trois mois après le drame. Et six ans après, c’était comme si elle n’avait jamais existé. La vie avait repris son chemin sans que je ne puisse rien y faire.
Ainsi, l’homme à la capacité d’oublié tout ce qui lui fait mal et de détruire tout ce qui lui fait peur.
Quand je rentre chez moi, mon père est assis dans le salon et regarde les informations au journal télévisé d’un œil fatigué. Je suis tenté de monter directement dans ma chambre, après tout, je ne lui dois rien. Mais j’entre quand même dans le salon, traînant les pieds jusqu’à lui. Il lève enfin son nez de la TV et posé ses yeux verts sur moi.
« Bonjour, Père. »
« Bonjour, Setsuna. »
Il y a un silence. J’ai l’impression que nous nous défions du regard. Ses lèvres frémissent comme s’il pouvait voir la rancœur dans mon regard. Mais même s’il le pouvait, il s’en ficherait. Car mon père se moque de tout ce qui ne concerne pas la montée de la bourse.
« Comment ça s’est passé à l’école ? »
Je suis tellement sidéré par cette question que je n’y réponds pas tout de suite. Mais comprenez-moi, en dix-sept ans d’existence, jamais Zero Yamato ne m’a demandé « comment ça s’était passé à l’école. »
« Euh… Très bien. Comme d’habitude, en fait. »
« Tu as pensé à ce que tu voulais faire, plus tard ? »
Ah… C’était donc ça. Il espère sans doute que je lui réponde que je veux faire tout comme lui.
« Je pense faire un métier artistique. Musicien, peut-être. Ou peintre . »
J’insiste lourdement sur la dernière vocation. Je n’ai aucun talent pour la peinture et si je sais me servir d’un crayon et d’une feuille de papier correctement, une fois qu’il s’agit de manier un pinceau, rien ne va plus. Je veux lui faire mal. Voir s’il se souvient de maman. Et si ce souvenir le fait souffrir. Ça marche ; ses doigts se contractent autour de son verre de vodka et son regard se perd dans la contemplation de quelque chose que lui seul peut voir. Cependant, il revient vite à la réalité et me jauge froidement.
« Vraiment ? Ça ne te mènera à rien. Tu le sais ? »
« Je ferais tout pour que ça marche et pour réussir. De toute façon, Père, je n’ai pas d’autres ambitions. Rien qui ne m’intéresse vraiment. »
Il pince sévèrement les lèvres et notre combat visuel reprend.
« En tant que mon seul et unique fils, il est d’usage que tu reprennes l’affaire familiale, après ma retraite. »
Je ne dis rien. Je le savais depuis le début que je devrais reprendre son entreprise. Yamato Corporation. L’entreprise montante de l’industrie technologique. Que suis-je censé répondre à cela ? « Ooh, oui, Père ! J’espérai tellement que vous me le proposiez ! » ? Sauf que ce n’était absolument pas mon genre et mon attention. Mais il ne me laissa de toute façon pas l’occasion de lui répondre.
« Tu iras donc à l'école de Tokyo, et tu vivras là-bas. »
Il avait dit ça avec tant de naturel que je ne tilt pas tout de suite. Puis le mot « pensionnant » résonne dans ma tête.
« Tu veux surtout te débarrasser de moi ! » Rugis-je, si fort que Marina, la femme de ménage, renversa son seau d’eau. Zero porta son verre à ses lèvres et avala une lampée âcre. Cependant, j’avais vu ses mains tressaillir.
« Ne me parle pas sur ce ton ! Tu iras à Tokyo quand tu auras 17 ans, que ça te plaise ou non ! »
Il ne dément même pas mes propos. Je ne dis rien cependant. Je tourne simplement les talons.

Un an plus tard.

[size=12]Assis sur les marches du perron, les poings calés sous mon menton, j’observe les employés de mon père ranger mes valises dans le coffre de sa nouvelle berline. Cette fois, c’était fini. Mon père avait définitivement choisi la destinée que je devais prendre. Sans que je pusse donner mon avis. Va au diable, Père. Tu n’as jamais rien été pour moi. J’entends la porte s’ouvrir derrière moi, puis se refermer. Une main se pose sur mon épaule. Je la chasse d’un mouvement brusque et me lève.
« Setsuna ! » M’appela l’homme qui m’a donné vie.
Je me retourne, arquant un sourcil hautain.
« Père ? »
« Me pardonneras-tu ? »
« Jamais, Père. »
Je grimpe dans la voiture et celle-ci démarre lentement.
Lui pardonner ? Mais pour qui se prend-il ? Après tout ce qu’il m’a fait… Et tout ce qu’il n’a pas fait ? Comme pour appuyer mes pensées, je vois l’enceinte de l'école se profiler au loin. Elle a beau être sublime, elle est associée à mon père. Et je sais que j’aurai du mal à l’aimer.



Physique de Setsuna Alellujah Yamato

Je vais essayer d'être le plus concret possible. J’admettrai mes défauts et je ne mentirai pas sur mes qualités. Commençons par le haut. Je possède un visage ovale au menton légèrement anguleux. Mes pommettes sont saillantes. Mes yeux sont verts comme l'eau d'une mer marmoréenne, qui pétille quand je souris et sont surmontés par des sourcils qui me donnent constamment une expression dégagée. Ma peau ne bronze pas facilement, mais elle est cependant d'une douce teinte dorée. Mon nez est un peu retroussé, mais ne me déforme pas le visage ; il est étroit et je pense qu'il est dans les normes de tailles japonaises. Ce visage est surmonté d'une épaisse chevelure roux foncée ponctuée de mèches blanches. Ces mèches ne sont, pour la plupart, pas naturel. Sauf une, qui l'est. Mon visage est plutôt expressif, j'irai même jusqu'à dire qu'il est sécurisant. Je n'ai aucun mal à sourire, même lorsque je suis triste ou que quelque chose ne va pas. Certains pensent cependant que mon sourire est moqueur même malhonnête, mais c'est faux. J'aime sourire et pour moi, un joli sourire ça remonte toujours le moral d'autrui et puis, comme qui dirait « mieux vaut rire que pleurer », non ? Je peux cependant prendre une expression sérieuse, ce qui transforme littéralement mon visage. Mes yeux s'assombrissent et mon expression se fige littéralement. On m'a souvent dit que je faisais peur dans ces moments-là.

Je mesure un bon mètre septante pour soixante-quatre kilos, approximativement. À dire vrai, je n'impressionne pas beaucoup les gros bras avec mon physique de grand gringalet. Cependant, les muscles sont bel et bien là, longs et fins, capables de soulever des charges assez importantes et de donner un uppercut douloureux. Je n'ai jamais voulu bodybuildé ma musculature, tenant à mon agilité, ma souplesse et ma rapidité. De plus, n'étant pas spécialement d'un naturel bagarreur, je n'ai jamais eu à me protéger contre qui que ce soit. Mais ce n'est pas pour autant que je suis né et que j’ai grandi naturellement pour avoir un joli corps aux longs muscles ; je cours une heure, plus ou moins, chaque matin et tente d'éviter les excès. Aussi, la musique ; le piano et la guitare, en particulier, ni sont sans doute pas pour rien. Le piano m’a donné de longs doigts agiles et flexibles alors que la guitare m’a permis d'avoir des bras aux muscles fins et allongés. Mais bien sûr, le fait d'avoir un métabolisme qui me permet de manger ce que je veux sans prendre un gramme doit aider beaucoup.

Nonobstant, je suis le genre de personne qui mise tout sur la première impression. Si jamais vous vous présentez à moi, pour la première fois, avec un training tâché, un t-shirt déchiré et une odeur d'alcool, je vous étiquetterai directement comme une personne négligente. Il est donc logique que je tente toujours d'avoir bonne allure. Du coup, je me tiendrai toujours bien droit, sans pour autant avoir l'air d'avoir un balai entre les fesses - excusez-moi l'expression - et prendrai toujours un air décontracté quoiqu'impassible. Et ça marche. Les gens semblent m'apprécier et d'une certaine façon me respecter.

Et pour terminer, ma façon de me fringuer. Malgré que mes parents soient des gens assez importants, je n'ai jamais été un adepte de tout ce qui est costume, cravate et mocassin. Je porte généralement des sweat-shirts aux couleurs multiples et par-dessus, lorsqu'il fait froid, je mets une simple veste en cuir ou un blouson. Le reste ne varie que très rarement : baskets et jeans. Je possède aussi un tatouage représentant le kanji de l'espoir sur l'omoplate gauche et une écriture celtique autour du biceps droit. Autour du cou, je porte toujours une sorte d’épais lacet en cuir rouge et noir, symbole de ma rébellion envers mes parents et une chaîne en argent où pend une plaquette sur lequel il est inscrit « forever », je n’ai cependant jamais dit à personne ce que cela signifiait.


Derrière l'écran (:


→ Ton prénom :
Peyton
→ Ton âge :
19 ans
→ Tu vis où ? :
Dans la province du Hainaut, en Belgique et plus précisèment, en Wallonie
→ Comment as-tu découvert THS :
Top-Site.
→ Qu'est-ce qui t'as attiré/incité à t'inscrire sur THS :
D'abord, parce que c'est un nouveau forum qui à l'air d'avoir un bel avenir ( héhé, oui, je vois l'avenir x) ) et aussi car il semble y avoir une bonne ambiance (:
→ Le code de validation :
VALIDE by Ryuu


Dernière édition par Setsuna A. Yamato le Sam 1 Jan - 17:20, édité 1 fois
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Setsuna A. Yamato
Setsuna A. YamatoMessages : 86
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MessageSujet: Re: Setsuna Alellujah Yamato   Setsuna Alellujah Yamato Icon_minitimeSam 1 Jan - 17:07

Terminé (:
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Ryuu Kurayami
Ryuu KurayamiMessages : 328
Date d'inscription : 25/12/2010
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MessageSujet: Re: Setsuna Alellujah Yamato   Setsuna Alellujah Yamato Icon_minitimeSam 1 Jan - 17:40

Bonjour Setsuna et bienvenue parmi nous.
Tu es validé en tant que Googai, bienvenue parmi nous ♥
Je t'offre ta couleur. Pense à activer ta feuille de personne dans " profil " " feuille de personnage " " généré " et de la remplir :3.

Si tu as la moindre question, n'hésite surtout pas à contacter le staff qui se fera un plaisir de l'aider.

[ HS : YOUPI UN NOUVEAU ESCLAVE POUR MOI *o* ]
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Yusuke Kago
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MessageSujet: Re: Setsuna Alellujah Yamato   Setsuna Alellujah Yamato Icon_minitimeSam 1 Jan - 21:11

Petit ajout de ma part : ta chambre est la n°12 Wink.
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MessageSujet: Re: Setsuna Alellujah Yamato   Setsuna Alellujah Yamato Icon_minitime

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Setsuna Alellujah Yamato

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