Setsuna A. Yamato Messages : 86Date d'inscription : 01/01/2011Age : 33Feuille de personnage ○ Informations ○ : ○ Relations ○ : ○ Statu rp ○ : Disponible
Sujet: Setsuna Alellujah Yamato Sam 1 Jan - 17:06 Présentation de Setsuna Alellujah Yamato Ma vie est un sombre donjon, où seul mon cœur ensanglantée par la douleur, rouge flamboyant, dessine mon ombre malheureuse sur les murs de ma prison. → Nom & Prénom :
Setsuna Alellujah Yamato
→ Sexe :
Masculin
→ Ses Passions :
La musique, les jours de neige & les after.
→ Ses Phobies :
Les bestioles gluantes, les souris, les silences pesants & les endroits clos.
→ Ses Buts :
Eh bien... réussir ses études et peut-être à être heureux ?
→ Son mental en quelques mots :
Manipulateur - Compréhensif - Fidèle - sarcastique - Observateur - Protecteur.
→ Son groupe :
Les Googais
→ Sa classe :
Cinquième.
→ Le perso sur votre avatar :
Rayne de Neo Angelique Abyss
Histoire de Setsuna Alellujah Yamato Who had believed that he would change? I admit it, I had kept hope... Alone and depraved...
C’est un jour comme tous les autres. Long, éprouvant et marqué de souvenirs d’Anna-Maria. Pourtant, comme chaque jour, lorsque je franchi les grilles du lycée, je cherche le visage – toujours aussi peu familier – de mon père. Aujourd’hui, encore, il n’est pas là. Il n’est jamais là. Je dis rapidement au revoir à mes amis et me dirige vers la longue berline noire aux vitres teintées. Un homme en sort et prend mon sac avec le traditionnel « bonjour, Monsieur Setsuna. Vous avez eu une bonne journée ? » et comme chaque jour, je me contente de me glisser sur les sièges en cuir beige. C’est ainsi depuis six ans. Depuis qu’Anna-Maria nous a quittés. Une fois que j’eu accompli mon deuil, j’avais espéré que mon père s’occuperait de moi. Réussirait à m’incorporer dans ses journées, à me prendre en considération. Mais rien n’avait changé. Ma vie avait juste perdu son sens. La maison avait juste semblé plus vide. Mais les kilomètres qui nous séparaient mon père et moi étaient restés inchangés. Peut-être avaient-ils même augmenté ? Tous les tableaux de maman avaient disparu, tous souvenirs d’elle avaient été annihilés, à la manière d’une dératisation. Les employés de la maison avaient tant bien que mal tenté de prendre sa place auprès de moi. C’était Jerry, le voiturier, qui venait me chercher à l’école et sa femme, Helena, qui était venu me border trois mois après le drame. Et six ans après, c’était comme si elle n’avait jamais existé. La vie avait repris son chemin sans que je ne puisse rien y faire. Ainsi, l’homme à la capacité d’oublié tout ce qui lui fait mal et de détruire tout ce qui lui fait peur. Quand je rentre chez moi, mon père est assis dans le salon et regarde les informations au journal télévisé d’un œil fatigué. Je suis tenté de monter directement dans ma chambre, après tout, je ne lui dois rien. Mais j’entre quand même dans le salon, traînant les pieds jusqu’à lui. Il lève enfin son nez de la TV et posé ses yeux verts sur moi.« Bonjour, Père. » « Bonjour, Setsuna. » Il y a un silence. J’ai l’impression que nous nous défions du regard. Ses lèvres frémissent comme s’il pouvait voir la rancœur dans mon regard. Mais même s’il le pouvait, il s’en ficherait. Car mon père se moque de tout ce qui ne concerne pas la montée de la bourse.« Comment ça s’est passé à l’école ? » Je suis tellement sidéré par cette question que je n’y réponds pas tout de suite. Mais comprenez-moi, en dix-sept ans d’existence, jamais Zero Yamato ne m’a demandé « comment ça s’était passé à l’école. » « Euh… Très bien. Comme d’habitude, en fait. » « Tu as pensé à ce que tu voulais faire, plus tard ? » Ah… C’était donc ça. Il espère sans doute que je lui réponde que je veux faire tout comme lui.« Je pense faire un métier artistique. Musicien, peut-être. Ou peintre . » J’insiste lourdement sur la dernière vocation. Je n’ai aucun talent pour la peinture et si je sais me servir d’un crayon et d’une feuille de papier correctement, une fois qu’il s’agit de manier un pinceau, rien ne va plus. Je veux lui faire mal. Voir s’il se souvient de maman. Et si ce souvenir le fait souffrir. Ça marche ; ses doigts se contractent autour de son verre de vodka et son regard se perd dans la contemplation de quelque chose que lui seul peut voir. Cependant, il revient vite à la réalité et me jauge froidement.« Vraiment ? Ça ne te mènera à rien. Tu le sais ? » « Je ferais tout pour que ça marche et pour réussir. De toute façon, Père, je n’ai pas d’autres ambitions. Rien qui ne m’intéresse vraiment. » Il pince sévèrement les lèvres et notre combat visuel reprend.« En tant que mon seul et unique fils, il est d’usage que tu reprennes l’affaire familiale, après ma retraite. » Je ne dis rien. Je le savais depuis le début que je devrais reprendre son entreprise. Yamato Corporation. L’entreprise montante de l’industrie technologique. Que suis-je censé répondre à cela ? « Ooh, oui, Père ! J’espérai tellement que vous me le proposiez ! » ? Sauf que ce n’était absolument pas mon genre et mon attention. Mais il ne me laissa de toute façon pas l’occasion de lui répondre.« Tu iras donc à l'école de Tokyo, et tu vivras là-bas. » Il avait dit ça avec tant de naturel que je ne tilt pas tout de suite. Puis le mot « pensionnant » résonne dans ma tête.« Tu veux surtout te débarrasser de moi ! » Rugis-je, si fort que Marina, la femme de ménage, renversa son seau d’eau. Zero porta son verre à ses lèvres et avala une lampée âcre. Cependant, j’avais vu ses mains tressaillir.« Ne me parle pas sur ce ton ! Tu iras à Tokyo quand tu auras 17 ans, que ça te plaise ou non ! » Il ne dément même pas mes propos. Je ne dis rien cependant. Je tourne simplement les talons.U n an plus tard. [size=12]Assis sur les marches du perron, les poings calés sous mon menton, j’observe les employés de mon père ranger mes valises dans le coffre de sa nouvelle berline. Cette fois, c’était fini. Mon père avait définitivement choisi la destinée que je devais prendre. Sans que je pusse donner mon avis. Va au diable, Père. Tu n’as jamais rien été pour moi. J’entends la porte s’ouvrir derrière moi, puis se refermer. Une main se pose sur mon épaule. Je la chasse d’un mouvement brusque et me lève.« Setsuna ! » M’appela l’homme qui m’a donné vie. Je me retourne, arquant un sourcil hautain.« Père ? » « Me pardonneras-tu ? » « Jamais, Père. » Je grimpe dans la voiture et celle-ci démarre lentement. Lui pardonner ? Mais pour qui se prend-il ? Après tout ce qu’il m’a fait… Et tout ce qu’il n’a pas fait ? Comme pour appuyer mes pensées, je vois l’enceinte de l'école se profiler au loin. Elle a beau être sublime, elle est associée à mon père. Et je sais que j’aurai du mal à l’aimer.
Physique de Setsuna Alellujah Yamato Je vais essayer d'être le plus concret possible. J’admettrai mes défauts et je ne mentirai pas sur mes qualités. Commençons par le haut. Je possède un visage ovale au menton légèrement anguleux. Mes pommettes sont saillantes. Mes yeux sont verts comme l'eau d'une mer marmoréenne, qui pétille quand je souris et sont surmontés par des sourcils qui me donnent constamment une expression dégagée. Ma peau ne bronze pas facilement, mais elle est cependant d'une douce teinte dorée. Mon nez est un peu retroussé, mais ne me déforme pas le visage ; il est étroit et je pense qu'il est dans les normes de tailles japonaises. Ce visage est surmonté d'une épaisse chevelure roux foncée ponctuée de mèches blanches. Ces mèches ne sont, pour la plupart, pas naturel. Sauf une, qui l'est. Mon visage est plutôt expressif, j'irai même jusqu'à dire qu'il est sécurisant. Je n'ai aucun mal à sourire, même lorsque je suis triste ou que quelque chose ne va pas. Certains pensent cependant que mon sourire est moqueur même malhonnête, mais c'est faux. J'aime sourire et pour moi, un joli sourire ça remonte toujours le moral d'autrui et puis, comme qui dirait « mieux vaut rire que pleurer », non ? Je peux cependant prendre une expression sérieuse, ce qui transforme littéralement mon visage. Mes yeux s'assombrissent et mon expression se fige littéralement. On m'a souvent dit que je faisais peur dans ces moments-là. Je mesure un bon mètre septante pour soixante-quatre kilos, approximativement. À dire vrai, je n'impressionne pas beaucoup les gros bras avec mon physique de grand gringalet. Cependant, les muscles sont bel et bien là, longs et fins, capables de soulever des charges assez importantes et de donner un uppercut douloureux. Je n'ai jamais voulu bodybuildé ma musculature, tenant à mon agilité, ma souplesse et ma rapidité. De plus, n'étant pas spécialement d'un naturel bagarreur, je n'ai jamais eu à me protéger contre qui que ce soit. Mais ce n'est pas pour autant que je suis né et que j’ai grandi naturellement pour avoir un joli corps aux longs muscles ; je cours une heure, plus ou moins, chaque matin et tente d'éviter les excès. Aussi, la musique ; le piano et la guitare, en particulier, ni sont sans doute pas pour rien. Le piano m’a donné de longs doigts agiles et flexibles alors que la guitare m’a permis d'avoir des bras aux muscles fins et allongés. Mais bien sûr, le fait d'avoir un métabolisme qui me permet de manger ce que je veux sans prendre un gramme doit aider beaucoup. Nonobstant, je suis le genre de personne qui mise tout sur la première impression. Si jamais vous vous présentez à moi, pour la première fois, avec un training tâché, un t-shirt déchiré et une odeur d'alcool, je vous étiquetterai directement comme une personne négligente. Il est donc logique que je tente toujours d'avoir bonne allure. Du coup, je me tiendrai toujours bien droit, sans pour autant avoir l'air d'avoir un balai entre les fesses - excusez-moi l'expression - et prendrai toujours un air décontracté quoiqu'impassible. Et ça marche. Les gens semblent m'apprécier et d'une certaine façon me respecter. Et pour terminer, ma façon de me fringuer. Malgré que mes parents soient des gens assez importants, je n'ai jamais été un adepte de tout ce qui est costume, cravate et mocassin. Je porte généralement des sweat-shirts aux couleurs multiples et par-dessus, lorsqu'il fait froid, je mets une simple veste en cuir ou un blouson. Le reste ne varie que très rarement : baskets et jeans. Je possède aussi un tatouage représentant le kanji de l'espoir sur l'omoplate gauche et une écriture celtique autour du biceps droit. Autour du cou, je porte toujours une sorte d’épais lacet en cuir rouge et noir, symbole de ma rébellion envers mes parents et une chaîne en argent où pend une plaquette sur lequel il est inscrit « forever », je n’ai cependant jamais dit à personne ce que cela signifiait.
Derrière l'écran (: → Tu vis où ? :
Dans la province du Hainaut, en Belgique et plus précisèment, en Wallonie
→ Comment as-tu découvert THS :
Top-Site.
→ Qu'est-ce qui t'as attiré/incité à t'inscrire sur THS :
D'abord, parce que c'est un nouveau forum qui à l'air d'avoir un bel avenir ( héhé, oui, je vois l'avenir x) ) et aussi car il semble y avoir une bonne ambiance (:
→ Le code de validation :
VALIDE by Ryuu
Dernière édition par Setsuna A. Yamato le Sam 1 Jan - 17:20, édité 1 fois