Présentation de

Takahashi Fubuki

Le lit est un meuble où l'on se repose quand on est seul et où l'on se fatigue quand on est deux.

→ Nom & Prénom :

Takahashi Fubuki

→ Age :

17 ans

→ Sexe :

Homme

→ Ses Passions :

Se reposer, les jolies femmes, le chocolat, le thé et le ju-jutsu.

→ Ses Phobies :

Il n'en a pas, ou plutôt, il n'a jamais prit le temps de se demander si il en avait...

→ Ses Buts :

Se reposer... Ah, et si possible trouver un pige... quelqu'un pour diriger l'entreprise à sa place tout en lui refilant le pognon.

→ Son mental en quelques mots :

Tout d'abord, la première chose qu'on dit généralement de Takahashi est qu'il est feignant. C'est faux ! Il est juste pragmatique et n'en fera jamais plus que nécessaire, hors comme le nécessaire dans son cas c'est "à peu près rien", cela explique pas mal de chose. Très intelligent, il se trouve être une personne relativement peu intéressée du cas d'autrui, on pourrait presque le qualifier de jemenfoutiste : il vit la vie comme elle vient, et si possible, sans trop en faire.

→ Son groupe :

Googai

→ Sa classe :

5ème année

→ Le perso sur votre avatar :

Heise : White Snow

Histoire de Takahashi Fubuki

« C’est comme ça que naissent les génies, c’est comme ça qu'ils vivent : seul. »

C’est sans doute ces mots qui scellèrent une partie de l’histoire de Takahashi Fubuki. Prononcés par celui qu’il appellera plus tard « père », oraison funèbre d’un avenir d’ombres éparses aux travers desquels se faufileront peut-être quelques fragments de lumière ? Le jeune enfant n’avait pas de mère, le tube de liquide amniotique commençait déjà à se vider maintenant que ce dernier avait pris connaissance, et était physiologiquement prêt à vivre en dehors de sa bulle…

Car oui, le jeune homme était issue d’une naissance artificielle, la moitié de ses gènes provenant de son « père », l’autre moitié provenant des expérimentations du génie génétique afin de créer un individu qui se voulait parfait aux yeux du père, et donc, intelligent. Ce jeune homme, fils de ce père sans vergogne, devrait un jour reprendre l’héritage familial. C’était là du moins l’avis du père, et la raison de sa création, au sens propre du terme, ainsi que des millions qu’ont couté une telle opération de génie génétique, première en soit et à la déontologie plus que douteuse.

Pour le reste du monde, l’enfant était presque normal, presque. Sa naissance avait codé dans son génome le statut d’EIP : Enfant Intellectuellement Précoce, personne au QI supérieur à la norme, mais aussi d’une maladie psychologique très rare nommée « hypermnésie ». Cette maladie d’apparence géniale se trouve cependant avoir bien des défauts : la personne se souvient de toute sa vie, de chaque action qu’elle à faite depuis sa naissance jusqu’au jour d’aujourd’hui, et du jour de ces actions, ainsi que ce qu’on lui a dit. Magnifique ? Que pensez vous que cela soit que de se souvenir de chaque instant de sa vie où l’on entend le bruit de la pluie parce qu’au moment présent il pleut dehors ? Que pensez vous que ce soit de se souvenir de chaque instant passé sur un clavier d’ordinateur quand quelqu’un à coté de vous est en train de rédiger sur un logiciel de traitement de texte ? Seul une personne extrêmement ordonné mentalement peut arriver à organiser ses souvenir dans ce cas là. Et cette compétence n’est certainement pas innée.

Ainsi se passèrent les premières années de l’enfance de Fubuki, entre étude et tentative de calmer son esprit en ébullition. Ce n’était pas une vie, il fallait le dire, mais une torture quasi-permanente. Et savoir que sa mère n’était qu’une éprouvette dans un frigidaire n’aidait sans doute pas le moins du monde à la stabilité mentale de l’enfant. Ce dernier trouva ainsi tout d’abord un refuge dans les études, et un exutoire dans le ju-jutsu, ce sport de combat que l’on ne peut qualifier ni de défensif, ni d’offensif…

Tout allait pour le mieux dans le meilleur des monde pouvait être dit avec un soupçon d’ironie. Car si le jeune homme ne manquait de rien dans sa vie de tout les jours, il ne connaissait pour ainsi dire pas le moins du monde le sens du mot « amour », ou presque pas : la seule personne lui ayant portée la moindre affection fut la jeune femme qui lui avait servit de tutrice et de nurse, la seule personne qui se fut intéressé à lui un tant soit peu. Son père n’avait jamais voulut d’un fils, il voulait un successeur. Quand au reste des membres de la maison, serviteurs ou hommes d’affaire de passage, ils lui étaient ou asservit, ou indifférent…

Cependant, tout cela, il pouvait s’en contenter, ne connaissant rien d’autre et n’ayant rien connut d’autre que la solitude de toute sa vie, il pouvait être seul. Aussi le travail ne fut plus un problème pour lui, allant à l’école lorsqu’il en avait envie, restant chez lui le reste du temps. A peine entrée dans le collège, il avait le niveau pour entrer en faculté, autant dire que le fait d’aller au cours était devenu une option « facultative ». En fait, il y allait plus pour le folklore que pour assister au cours en lui-même…

Rien d’extraordinaire cependant ne se déroula durant la vie du jeune homme qui semblait minuter par une horloge invisible, réglant chaque détail de sa vie sous l’œil avisé de son père. Quelques filles parfois, incapables de combler au final ce gouffre qu’il avait au fond de son cœur, et un temps à tuer immensément long durant lequel rien ne semblait faire accélérer les aiguilles inébranlables du temps. Cependant, le temps a le même courroux pour tout le monde, bon comme mauvais, et lorsqu’il s’arrête, plus rien ne peut le relancer…

C’est ce qui arriva au « père » de Fubuki il y a six mois.

Et celui-ci ne le pleura pas le moins du monde. Au lieu de cela, il s’attela de suite à la charge de la prise de la famille. L’école étant obligatoire, il ne pouvait se permettre de ne pas y aller, aussi dut-il se forcer à travailler un bref instant dans sa vie afin de mettre en place ce qui permettrait à ses intérêts de tenir le temps qu’il sorte de ses études. Aussi deux boursicoteurs furent engager pour gérer les actions financièrent du jeune homme et seraient payé fonction de leur rentabilité afin que le garçon ne soit jamais perdant, ou remplacés si ils n’étaient pas efficaces pour faire fructifier les gains des 30% de son capital qui devaient spéculer rapidement pour du bénéfice immédiat. Le reste servant à l’actionnariat de grandes entreprises comme Sony (où il est actionnaire majoritaire), Toshiba, Microsoft… … …

Pour ce qui était de l’école, il lui fallait une école de qualité afin d’avoir une renommée de prestige pour ses prochaines affaires sans que cette dernière ne lève le moindre doigt contre lui. En d’autre terme, il fallait qu’il investisse dans l’école qu’il avait trouvée. Une école non loin de Tokyo. S’inscrivant à ce qui s’appelait la Tokyo High School, le jeune homme y investit une quantité d’argent très importante, renflouant sans le moindre doute les caisses de l’école et lui permettant de parachever plusieurs de ses projets bien à l’avance, tout en faisant de lui un VIP puisqu’il s’agissait là d’investissement, et qui disait « investissement » disait « retour sur investissement ». Donc en cas de problème, il pouvait toujours exiger un remboursement immédiat de ce qu’il avait investit, cela rendant peu probable que l’école s’oppose au moindre de ses caprices, si toute fois il en avait en dehors de sécher les cours ou dormir pendant ces derniers.


Actuellement, il ne se trouve pas encore dans la Tokyo High School, mais son intégration devrait se faire dans les jours qui suivent. Quand il en aurait envie en fait…

Physique de Takahashi Fubuki

Beau jeune homme aux cheveux étonnement blanc pour son jeune âge, son physique est à lui seul assez atypique pour ne pas passer inaperçu, laissant certains se demander parfois s’il s’agit bien là d’un homme ou d’une femme.

Donc, pour commencer, Fubuki est bien un homme que l’on pourrait facilement qualifier d’éphèbe au vue de son physique de bishōnen. Un visage fin et une peau douce, un physique de grande taille et pourtant gracile, et des yeux d’un bleu aussi délicat que le calme trompeur de l’aurore. Par delà cela, on peut constater un corps équilibré et qui, malgré la mollesse qu’il semble dégager, n’est pas aussi chétif qu’on pourrait le croire aux premiers abords… Il s’agit là en fait d’un corps complexe, au moins aussi complexe que l’esprit auquel il est lié.

Commençons par son visage, si fin et pourtant si enjôleur. On pourrait le croire tailler par un grand artiste pour faire concurrence au David de Michel Ange, ou au Penseur de Rhodes. Sur ce dernier se trouve perché deux saphirs, ornement ultime de cette perle d’albâtre aussi blanche et pure que la neige. Au dessous, son sourire, toujours si fin, si délicat, entre l’avenant et le moqueur. Au dessus, ses cheveux, plus blanc même que ne l’est sa peau, excepté quelques mèches plus sombres que l’obsidienne retombant sur ses yeux. On peut également distinguer un tatouage sur le coté gauche de son visage aux origines presque mystérieuse et à la forme tout sauf évocatrice. Pourtant on ne fait pas ce genre de dessin pour rien…

Continuons par son corps, à la fois si svelte et élancé, et pourtant si résistant au changement. Le jeune homme, quand on le voit comme ça, paraitrait sans doute frêle et mollassons, voir même fragile. Pourtant, de tout cela il n’est rien car malgré son pragmatisme que l’on pourrait qualifier de maladif, ce dernier entretient parfaitement son corps, soit disant pour éviter un « trop plein d’énergie qui pourrait l’empêcher de dormir », même si il ne manquait pas d’activités possibles pour évacuer ce trop plein. Au final, de cela il résultait un corps à la fine musculature semblable au canon de beauté grec, a la fois ferme et pourtant tout aussi souple, forgé par et pour un sport précis, son seul hobbies dans ce domaine, l’art de la souplesse : le ju-jutsu.

Enfin, parlons de son habillage. Plutôt sobre de nature, il porte de manière générale des vêtements dans les contrastes sombres et clairs. A cela on peut ajouter un pendentif comportant un rubis écarlate de grande pureté en forme de larme ainsi qu’une bague d’argent étincelante. Ces derniers ne sont cependant pas toujours de mise et il arrive qu’il porte bien d’autre chose selon, principalement, ses envies du moment. Mais de manière générale, cela reste dans ces domaines précis, surtout pour les contrastes qu’il apprécie particulièrement.

Que dire de plus ? Comme pour tout être nous pourrions faire un livre à décrire son corps, mais dans le cas présent, nous venons d’étudier sommairement ce qui nous intéressait dans le cas présent, aussi, il n’est pas de besoin de continuer plus avant cette description de l’individu…

Derrière l'écran (:

→ Ton prénom :

Jean-Christophe aka la Jice, JC, Kos...

→ TON AGE :

21 ans

→ Tu vis où ? :

Sud-ouest de la France

→ Comment as-tu découvert THS :

Via Nonow

→ Qu'est-ce qui t'as attiré/incité à t'inscrire sur THS :

Joker

→ Le code de validation :

By April