Présentation de \\\\{Sabishisa Hikari}////

\\\\On peut aussi bien prier une sardine, ce n'est qu'une question de foi.////

→ Nom & Prénom :

SABISHISA Hikari

→ Age :

16 ans

→ Sexe :

Féminin

→ Ses Passions :

Peut-on parler de passion ? Hikari n'a pas d'activité qui lui tienne vraiment à cœur, regarder les nuages en devinant une forme, regarder par la fenêtre, dormir dans un endroit tranquille et isolé sont ses principales activités.

→ Ses Phobies :

Ochlophobe (phobie qu'elle a appris à maîtriser avec le temps)

→ Ses Buts :

Se trouver un but dans la vie.

→ Son mental en quelques mots :

Il est difficile de cerner le caractère de cette jeune demoiselle. Personne ne peut vraiment savoir ce qu'elle est car elle s'est enfermée dans une coquille. D'extérieur elle parait douce et maternelle avec une touche de froideur. Elle donne l'impression d'une poupée fragile, ou d'une princesse dans son cercueil de verre. Certains auront envie de savoir ce qu'elle est à l'intérieur, ce que cache ce corps. Mais intérieurement Hikari est une fille prudente et toujours sur le qui vive. Jamais tranquille d'esprit elle préfère les endroits isolés où il n'y a personne à la ronde. Oh mais là n'est ses principaux traits de caractère ! Loin de là. Hikari est très timide il faut lui arracher les mots de la bouche, oui c'est le terme exacte "arracher". Elle rougie aussi très facilement au contact ou à la vue des autres. Ce qui explique aussi en partie son isolement.

Mais personne ne sait ce que nous réserve l'avenir, le temps forge le mental d'une personne. Qui sait ? Peut-être que quelqu'un arrivera à briser cette coquille ? Qui sait ce qui en ressortira par contre...

→ Son groupe :

Solitaire

→ Sa classe :

4ème année

→ Le perso sur votre avatar :

Miki, Vocaloid

Histoire de {Sabishisa Hikari}

Une Blanche-Neige aux cheveux roses

Ce que la vie peut être cruelle, ce que les dieux peuvent être cruels. D’en haut ils doivent se délecter de vos malheurs, les boire et les manger sans être ni saoul ni repus. Je vais donc vous conter l’histoire d’une jeune fille. Aussi blanche que la neige, aussi rouge que le sang, aussi rose que les roses.

C’était au milieu du printemps et les pétales de fleur tombaient comme des plumes ; une Dame dans la trentaine était assise près de sa fenêtre et cousait. Quelques colombes d’un blanc pur voletaient dans le jardin parmi les roses. Et comme cette Dame cousait tout en regardant ces plumes tomber, elle se piqua le doigt avec son aiguille, quelques gouttes de sang tombèrent sur son mouchoir aussi blanc qu’était les colombes, elle se dit :
«Oh ! Si j’avais un enfant blanc comme les colombes, rouge comme le sang et rose comme mes fleurs !»

Bientôt elle eut une petite fille qui était aussi blanche que les colombes, avec des lèvres rouges comme le sang et des cheveux roses comme ses fleurs ; elle avait apporté la lumière dans le foyer comme le soleil avait apporté la lumière sur Terre, ce qui fit qu’on la nomma Hikari.

Mais Hikari grandissait et devenait toujours plus belle ; et quand elle eut sept ans, elle était aussi belle que le jour, plus belle que sa mère. Une mère fière et hautaine à ne pouvoir souffrir qu’aucune autre la surpassât en beauté. Certes elle avait souhaité que sa fille soit blanche comme les colombes, rouge comme le sang et rose comme mes fleurs, mais sa nature l’avait rattrapé et chaque jour elle posait la même question à son valet :
«Quelle est la plus belle de tout le pays ?»
Et chaque jour la réponse était la même :
«Ma Dame, vous êtes la plus belle.»
Mais un jour la réponse différa, une réponse qui fit devenir la Dame livide de rage et d’envie. Son valet lui avait répondu ceci :
«Ma Dame, vous êtes la plus belle ici, mais Hikari est mille fois plus belle que vous.»

Depuis ce moment, la vue d’Hikari lui bouleversa le cœur, tant la petite fille lui inspirait la haine. L’envie, la jalousie ne firent que croître en elle, et elle n’eut plus de repos ni jour ni nuit.

Les sept nains pas nains

Hikari avait à présent treize-quatorze ans, toujours plus belle, toujours plus ingénieuse. Car il fallait bien déjouer les plans de sa mère. Dommage, elle l’aimait bien sa mère, elle aurait voulu avoir une vie de famille normal avec elle et son père. Un père qui ne prêtait aucune attention à sa femme et sa fille, il était toujours parti en voyage d’affaire… Même si les deux se doutaient bien que ce n’étaient pas de simples voyages d’affaire. D’ailleurs c’est aussi de là que vient la haine de la Dame pour Hikari, elle répétait à longueur de journée que c’était elle qui lui avait volé sa beauté et que c’était à cause d’elle que son mari la trompait.
Mais cessons de parler du père, il n’est qu’un personnage secondaire…et encore je dirais qu’il est un simple figurant, il n’est que poussière à côté des jeunes hommes qu’elle rencontrera ce jour-là. Parlons d’ailleurs de ce jour-là. Une journée forte en émotion. Hikari étant d’une famille riche ne sortait que peu souvent de la propriété, elle n’avait rien à faire dehors, tout venait à elle quand elle le voulait. Pourquoi sortir alors ? Parce que c’est dans l’antre du loup qu’elle était le plus en danger. La Dame invitait beaucoup de monde ces derniers temps…trop de monde et Hikari ne se sentait pas bien vis-à-vis de ces multiples personnes. Peut-être un mauvais pressentiment…ou plus. A vous de choisir…ou pas. Hikari avait et a toujours un problème avec les personnes, plus il y en a, moins elle se sent bien, mais personne ne le savait avant qu’elle sorte en ville. Je ne vais pas vous raconter tout de sa sortie en ville juste un petit résumé :
Elle est sortie, elle a marché dans la foule, elle s’est sentie mal, elle commença à perdre connaissance parmi la foule, un homme la rattrapa et après quand elle rouvrit les yeux elle était sur un divan de velours rouge. Sept hommes étaient disposés autour. C’est l’apparition des sept nains géants !

Si vous connaissez Blanche-Neige et les sept nains vous devriez connaître la suite. Les sept jeunes hommes étaient des hôtes, d'apparence raffiné... Mais il y a toujours un revers à la médaille. Ces sept jeunes hommes du nom de Prof, Timide, Atchoum, Joyeux, Simplet, Dormeur et Grincheux dont on ne connait le nom ne s'occupaient pas des tâches ménagères ni de la cuisine. Comment gardaient-ils la ligne ? J'aimerais bien savoir. Ils demandèrent alors à Hikari de s'occuper du ménage, de la vaisselle, du linge, de la cuisine et autres tâches ménagères. Ils n'avaient pas cherché à comprendre ce qui lui était arrivé, quels rustres ! Reprenons sérieusement.

Quand Hikari se réveilla, sept jeunes hommes se trouvaient autour d'elle. Tous affichaient un air différent en passant par l'inquiétude à l'indifférence. Ils lui amenèrent un thé et discutèrent longuement d'elle et d'eux, de comment elle avait atterrie ici, et de ce qu'elle devrait faire si elle voulait restée avec eux. Toute jeunette qu'elle était elle accepta de faire les tâches ménagères et la cuisine. Les sept hôtes reprirent leur travail le lendemain tout en la prévenant de n'ouvrir à personne.

Je ne vais pas tout vous raconter ce qu'il se passa pendant les trois années suivantes. Elle resta auprès des sept hôtes et vécue une quasi vie de princesse malgré les tâches ménagères et la cuisine, cela lui était même profitable, elle pouvait à présent faire de succulents plats. Elle évita de nombreuses attaques de sa mère et appris à gérer ses crises auprès des sept jeunes hommes.

Hikari avait à présent seize ans et ne pouvait pas toujours rester cachée sous les jupons de ses sauveurs.
Elle sortit donc de la maison d'hôtes et affronta la foule de l'après-midi pour aller s'inscrire dans un pensionnat célèbre. Avant même d'être sortie elle s'était déjà renseignée dessus et c'était dit que c'était le lieu parfait pour se protéger de sa mère. Mais malgré sa quasi maîtrise de ses crises, trop de monde c'est trop de monde. Elle étouffait littéralement dans la foule. Encore une fois ce fut un beau jeune homme qui la sauva, mettez-lui le rôle du prince charmant, ça sera parfait. Il l'emmena dans un endroit tranquille et sous le coup de la chaleur il lui demanda :
"Veux-tu vivre avec moi ?"
C'est ce qu'on pouvait appeler un coup de foudre... Coup de foudre ou pas il se prit un coup, pas physique mais ça faisait quand même mal. La jeune fille qu'il venait de sauver était rouge pivoine et s'écartait de lui en lui répétant de ne pas s'approcher. Quand elle fut à quelques mètres elle parti en courant. Ah il resta bien bête le blondinet sur son banc tout seul.
Après cela, Hikari alla s'inscrire à Tokyo High School.

Voilà notre petite princesse, seize ans, et toujours sur ses gardes. Qui sait quand la Dame peut attaquer ? Après tout, d'un moyen ou d'un autre elle savait toujours où étais Hikari.

Physique de {Sabishisa Hikari}

Poupée de cristal pur aux courbes gracieuses fines et généreuses à la fois, mesurant un mètre soixante-sept et arrivant avec peine la cinquantaine de kilogrammes, Hikari est une belle jeune femme. Elle a un de ces corps qu’on sent dans ses bras et qu’on a envie de serrer, un corps fait de chair, de sang et de muscles, généreux dans ses formes féminines. Le tout recouvert d’un mélange harmonieux de velouté poudreux blanc neige et rose clair. Ses membres inférieurs et supérieurs se finissent sur de fins doigts peints aux couleurs rosés en leur bout. Son corps n’est pas son seul atout beauté, son visage vient s’ajouter au tableau pour ne former qu’une unique œuvre. Non, vous n’avez pas Blanche-Neige devant vous, je suis d’accord elle à la peau blanche, elle a des lèvres pulpeuses et dessinées d’un très léger couleur vermeille, mais les cheveux sont d’une couleur bien différente. Ils sont d’un rose qui s’accorde avec ses ongles. Ce sont des cheveux longs, coupés en dégradés à la taille, des cheveux soyeux aux reflets pourpres sur un fond rose clair, des cheveux qui entourent un visage d’ange. Ses grands yeux sont d’un rose doux, relevés légèrement par des pommettes blanches ils relèvent sa féminité. Parfois ses longs cils noir ébène sont cachés par une paire de lunette, mais la plus grande partie du temps les lentilles remplacent les verres. Verres montés sur une légère monture noire posée sur le petit au bout arrondi de la jeune femme.

Côté vestimentaire la jeune femme n’est pas bien compliquée, on pourrait le qualifier de "all in black" : Débardeur ou polo noir surmonté d’un pull léger noir. Pour ne pas changer le pantalon est…noir, à patte d’éléphant pour aller avec les tennis (noires) ou slim pour aller dans de hautes bottes noires à talon. Des vêtements qui ne font que ressortir la blancheur de sa peau.
Autour de son coup, un pendentif en or est toujours attaché. Il est de forme ovale avec d’un côté un petit personnage en relief ayant pour œil un fragment de rubis et de l’autre une gravure si usée par le temps qu’on ne sait plus ce qu’il y est écrit. De multiples bracelets sont souvent mis autour de son poignet droit, tandis que le poignet gauche porte une montre argentée. Mais les futilités s’arrêtent là, il n’y a ni maquillage, ni boucle d’oreille ou autre collier. N’est-ce pas au naturel qu’on est le plus beau ?

Derrière l'écran (:

→ Ton prénom :

~

→ TON AGE :

16 ans

→ Tu vis où ? :

Terre, Eurasie, Europe, France, Normandie, Haute-Normandie, Eure (27)

→ Comment as-tu découvert THS :

Euh j'a reçu un mail avec la nouvelle adresse *devais être ancienne membre x)*

→ Qu'est-ce qui t'as attiré/incité à t'inscrire sur THS :

hum...Le contexte, le graphisme : le forum en lui-même.

→ Le code de validation :

Validé par Yusuke.