Tokyo High School
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Une école pas comme les autres ou un groupe de 5 élèves fait la loi !
 
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 Yōki Yamaguchi (妖紀 山口)

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AuteurMessage
Yōki Yamaguchi
Yōki YamaguchiMessages : 2
Date d'inscription : 07/02/2011
Localisation : Tōkyō

Feuille de personnage
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MessageSujet: Yōki Yamaguchi (妖紀 山口)   Yōki Yamaguchi (妖紀 山口) Icon_minitimeLun 7 Fév - 4:37

Yōki Yamaguchi (妖紀 山口)
Le bonheur se cache dans les restes
« Amarimono niwa fuku ga aru »
(あまり物には,福がある)



→ Nom & Prénom :
Yōki Yamaguchi (妖紀 山口)
→ Age :
16 ans et 10 mois
→ Sexe :
Masculin
→ Penchants :
-les contes et légendes du folklore japonais
-la magie
-les lézards
-les serpents
-la guitare
-la moto
-les sports extrêmes
-le ROCK
-le sex
→ Aversions :
-sa mère
-l'école
-le vide
-la mort
-l'oubli
-la vie
→ Ses Buts :
-parvenir à mettre de côté son passé et se débarrasser des fantômes qui le hantent sans pour autant avoir à renier leur souvenir
→ Son mental en quelques mots :
Yōki est un fantôme, un spectre, une vague pensée qui traverse le vide de notre monde avant que le néant ne reprenne ses droits sur lui. Autrefois, il avait des amis, des hobbies, des ambitions et même une petite amie; la seule, l'unique, celle dont on sait, au moment même où l'on pose les yeux dessus que notre vie ne sera plus jamais la même après que l'on parvient à trouver le courage de s'ouvrir à elle. En ce temps là, Yōki était un adolescent comme les autres, insouciant et heureux de l'être. Il était rieur, ouvert, chaleureux... et puis une tragédie se produisit, tragédie au cours de laquelle il perdit tout, y compris son âme et son innocence; son optimisme et peut être même sa santé mental. Depuis ce jour, il est changé en profondeur. Il ne parle plus avec personne, ne rit plus, ne vit plus... c'est comme s'il était déjà mort mais que son corps dépossédé de toute existence airait au hasard telle une ombre. Une ombre d'une froideur rare.

→ Son groupe :
Yōki n'est vraiment pas du genre à s'attacher à quelqu'un ou à servir une cause ou un groupe. Aussi, à son arrivé au lycée, je le vois plutôt affilié au « groupe » des élèves solitaires. Cependant, en fonction des Rps que je jouerai, je l'imagine très vite se faire des ennemis dans tel ou tel clan et donc, à défaut de servir un groupe, je le vois bien en desservir un (ou même plusieurs). ^^
→ Sa classe :
3ème année (en effet Yōki à redoublé une classe)

→ Le perso sur votre avatar :
Kazu de Air Gear.




Souvenirs
Introduction à l'histoire de Yōki

Melancholic Theme
[Play]

Yōki ouvrit légèrement les yeux mais le vide de son esprit ne laissa place à aucune lumière. Sa chambre était plongée dans la plus saisissante des obscurités. D'un coup de pied agile il fit glisser la couverture qui recouvrait son lit jusqu'à sa taille ce qui, comme il l'avait prévu, eut pour effet de lui découvrir les épaules. Ses nuits étaient toutes d'une chaleur accablante mais il n'y avait que la fraîcheur, voir le froid qui l'attirait car seul le froid avait pour vertu de faire tomber les peurs de son esprit et de libérer son inconscient. Bientôt, il se sentit comme tiré de son enveloppe charnelle et précipité dans les abîmes de son passé.
Délicatement, il se posa au pied d'un grand mur de givre et comme il étendait ses jambes, il laissa peu à peu ses pieds plonger dans l'aridité intense d'une rivière quasi-gelée. Le sol sur lequel il se trouvait était aussi doux que la neige et aussi piquant que l'herbe. La fraîcheur de l'air qui l'entourait était telle qu'en s'engouffrant dans sa gorge elle semblait poignarder sa trachée puis ses poumons de milles morts, toutes aussi délicieuses et intenses les unes que les autres.

-Je savais que je te trouverais ici.

Dit-il dans un souffle, puis il ouvrit les yeux et constata, comme à chaque fois, qu'autour de lui flottaient des milliers d'orbes blanches qui peuplaient le noir pixelisé d'une sublime nuit d'hiver. Il s'agissait là de fantômes anonymes qui, du plus profond de son sommeil, avaient accepté de le mener jusqu'ici et de lui livrer les clefs de ce royaume qu'il affectionnait tant. D'un geste commun, presque ordinaire, il tourna la tête vers la gauche et les rythmes des battements de son cœur se précipitèrent subitement au moment où il reconnut les contours de la silhouette d'une jeune fille enveloppée dans un kimono gris sur lequel était brodés des lys bleues en fleur. Elle était maigre, filiforme même et pourtant elle ondulait dans le fond de la nuit d'une manière qui aurait fasciné à la fois le corps et l'esprit de n'importe quel homme. Sa peau fut la première partie de son corps à se matérialiser. Elle était d'une pâleur merveilleuse, si nette et si délicate que l'on avait du mal à s'empêcher de la toucher. Puis se dessinèrent ses lèvre; pulpeuses, savoureuses, mais d'un rouge tellement aigre que l'on aurait put jurer qu'elle avaient étaient imprégnées de sang. Au fur et à mesure que se précisaient les traits de son visages, apparaissaient au sommet de son crâne et commençaient à filer derrière sa têtes deux traits d'encre abricot qui semblaient lui peindre des cheveux aussi lisse que l'empreinte d'une goutte d'eau que l'on aurait étalée le long d'une feuille. Lentement, très lentement, la forme leva un bras en direction de Yōki et au moment où ses doigts de détendirent dans sa direction, deux étoiles d'un vert de jade apparurent au creux de ses yeux.

-Ne reste pas assis par terre, lui dit-elle d'une voix claire, viens plutôt près de moi.

Le jeune homme se leva et, captivé par la beauté de son hôte, il s'immobilisa un instant, comme si il avait peur qu'elle ne disparaisse à nouveau et qu'il voulait graver son image dans son esprit tant qu'il le pouvait encore. Le visage de la jeune femme afficha un large sourire.

-Tu es encore tout nu? S'amusa-t-elle. Pourquoi est-ce que tu ne mets pas de kimono? Tu n'as pas froid?

Yōki baissa les yeux. Elle avait raison: il était nu comme un ver. C'était sans doute la raison pour laquelle il frissonnait. Sans trop y réfléchir, il passa ses deux bras autour de son thorax et commença à se donner de grands coups sur le torse, dans le but de se réchauffer. Oubliant son état, il redirigea son regard vers la jeune fille. Celle-ci avait l'air amusée. Dans un premier temps, son visage se déforma, comme si elle essayait de retenir une exclamation, puis d'un seul coup, elle éclata d'un petit rire cristallin.

-Tu t'y prend mal, encore une fois. Glissa-t-elle entre deux rires. Décidément, tu n'es pas fait pour ce monde. Pas encore. Viens vers moi, je sais comment te réchauffer.

Yōki commença à se diriger vers elle mais sans sentir le mouvement de ses jambes, comme si quelqu'un d'autre avait pris possession de son corps ou comme si une force invisible l'attirait vers l'apparition. Les orbes se décalaient sur son passage ou -lorsqu'il était trop rapide- se désagrégeaient au contact de sa peau. Bientôt il tendit son bras et effleura la main que la jeune fille tendait vers lui.

-Nori.

Murmura-t-il.
Ce n'est pas qu'il venait à peine de la reconnaître mais plutôt que ce n'était que maintenant que son prénom lui revenait en tête.
Abandonnant sa pudeur, il relâcha la main de la jeune femme et utilisa la sienne pour lui caresser le visage. Sa peau avait cet aspect aussi fabuleux que lorsqu'il la touchait en vrai.
Elle enroula ses bras autour de lui et aussitôt la chaleur de son corps le submergea.

-Nori, murmura-t-il à nouveau.
-Je suis là, lui répondit-elle. Est-ce que tu ne sens pas ma présence en toi?
-Si...bien sûr que je la sens... C'est sûr maintenant, tu es là.

Peu à peu son corps se réchauffa et ses inquiétudes se dissipèrent. Il se laissa même aller à fermer les yeux. Pendant une seconde, juste l'espace d'une toute petite seconde, il se sentit bien, soulagé, comme en osmose avec Nori et avec le monde. Mais d'un coup, d'un seul, le sol se déroba sous ses pieds et la douceur de la nuit laissa place à une sensation de chute. Tout disparut à part l'étreinte de Nori et même cette étreinte lui procurait un goût amère. La jeune femme se mit à pleurer. Il aurait aimé parler, dire quelque chose, la rassurer, mais il savait qu'alors, il n'aurait rien fait d'autre que de lui mentir. Déjà il sentait son rêve se désagrégeait. Il aurait tellement voulut l'empêcher, se concentrer encore un peu, un tout petit peu, pour la garder près de lui, mais les évènements lui échappaient encore. La déchirure était proche. Folle de tristesse; accablée par la douleur, Nori se mit à crier de son ton poignant, propre aux désespérés.

-Mais je suis là, hurla-t-elle a Yōki. Pourquoi est-ce que tu ne sens pas ma présence!
-Je sens ta présence.

Le corps du garçon se réchauffait. Il brulait autant que s'il avait été coincé au milieu d'un incendie gigantesque, autant que s'il avait été précipité jusqu'au plus profond des flammes de l'enfer. Il suintait, il se désagrégeait presque.

-Et la chaleur qui se dégage de mon corps! Se récria Nori. Est-ce que tu la sens la chaleur de mon corps? C'est bien la preuve que j'existe non! Il faut que j'existe, au moins maintenant! Parce que ce feu qui brûle en moi, il va bientôt s'éteindre Yōki. Alors si tu ne sens pas la chaleur de notre étreinte, c'est que même elle n'aura jamais était.

Yōki se sentait comme pris au piège maintenant. Il essaya de se dégager de l'éteinte de Nori, mais il n'y parvint pas tout de suite. Horrifié, il s'hasarda à rouvrir les yeux. Le noir de la nuit avait laissé place à des tons acres et brins qui déformaient l'espace autour de lui. Il n'y avait plus ni orbes, ni fleuve, ni sol. En fait, il n'y avait plus que le vide et les flammes. Lorsqu'il posa son regard sur la jeune fille, il sentit toute l'horreur et l'angoisse qui l'habitait désormais; une angoisse qui déformait son visage.
Peu à peu, il la sentit lui échapper et alors qu'elle semblait basculer en arrière, il se sentit comme parcourut par un sentiment de profond mal-être. Il voulut la rattraper mais il était déjà trop tard. Des tâches pourpres commençaient à imprégner son kimono, au niveau de son abdomen. Un filet de sang s'envola en direction du jeune homme. Instinctivement, il redirigea son regard vers sa figure. Elle était déformée; figée dans un rictus de douleur et de peur. Il poussa un cri profond, un cri qui venait du cœur car il saisissait enfin toute l'effroi de la scène: Nori, cette être si parfait, cette être qu'il avait tant aimé, cette seconde partie de lui même était en train de disparaître et rien ne pourrait jamais la ramener car c'était la mort, l'abominable faucheuse, qui avait entreprit de la lui prendre. Sa gorge se noua et une douleur atroce lui empoigna l'estomac. Quitte à tout perdre, il voulut la suivre dans la mort, retrouver son étreinte, fusionner avec elle pour le reste de l'éternité, mais alors qu'elle s'enfonçait de plus en plus dans les ténèbres il se sentit rappeler vers la lumière. Une lumière sombre et cruelle. Une dernière fois, il tendit la main vers elle et l'appela; comme si cet appel, aussi vain fut-il, eut eu le pouvoir de la ramener à lui. Mais cet ultime ultime effort ne se trouva pas récompensé et peu à peu, le rêve de Yōki ne fit plus qu'un lointain souvenir.

Un instant il se sentit calmé, presque apaisé. Il flottait un noir parfait et sa douleur comme sa peine n'avaient, pour ainsi dire, jamais existé. Mais le poids de la perte qu'il venait de vivre l'envahit de nouveau et comme pour combattre la réalité de cette perte, il se redressa de tout son corps et hurla à s'en rompre les cordes vocales le nom de « Nori ».
Son cri s'éleva un instant puis s'étouffa de lui-même. Lorsque le calme reparut et qu'il rassembla le courage nécessaire pour rouvrir les yeux, il se rendit compte qu'il était assis sur son lit.
Il était en sueur et une douleur terrible lui compressait le thorax. Le vide qui avait hantait son esprit ne laissait place à aucune lumière. Sa chambre était plongée dans la plus saisissante des obscurités.





Restes
Descriptions physique de Yōki


A paraitre très vite Wink




Conseils
Premier chapitre de l'histoire de Yōki


Sayu planta son couteau dans un cube de tofu qu'elle découpa en fines lamelles. Exposée plein sud et éclairée par une large fenêtre centrale, la cuisine se trouvait inondée par une chaude et agréable lumière. Tandis que Sayu commençait à s'égarer dans ses pensées, le sifflement de la bouilloire la rappela à l'ordre. S'armant d'une serviette humide, elle la retira du feu et versa son contenu d'eau chaude dans deux petits bols en porcelaine. Alors qu'elle disposait les bols sur un plateau, un bruit se fit entendre dans l'escalier. En jetant un coup d'œil discret à travers l'arche qui menait à l'entrée, elle reconnut son fils en train de descendre les marches et de se diriger vers la cuisine.
Sans accorder la moindre attention à sa mère, Yōki alla ouvrir un placard duquel il sortit une boite de céréales qu'il posa sur la bar devant elle. Puis, tout en piochant dedans, il se mit à feuilleter les pages d'un livret qu'elle avait laissé là pour lui.

-C'est ça la THS? Demanda-t-il avec dédain.

Sayu retenut un soupir. Tout en se concentrant sur sa préparation, elle répondit d'un ton sec:

-Oui, c'est ça: l'école la plus prestigieuse de Tōkyō et dis-toi que tu as bien eu de la chance qu'une place se soit libérée en cours d'année et que nos moyens financiers nous aient permis de t'y inscrire sans trop soulever de questions.
-A t'entendre je devrais te remercier. Bougonna-t-il.
-Tu sais mon garçon, j'aurais tout aussi bien pu te faire embaucher à Tsukiji; alors oui, estime toi heureux d'intégrer cette école.

Le jeune garçon ne trouve rien à répondre. Par dépit, il se replongea dans la lecture de sa brochure.
« Fondée en 1872 sous le nom de Ueno-juku, la Tōkyō High School a su conservé son esprit de tradition tout en évoluant vers un centre d'enseignement de pointe et un lieu d'échange entre les futurs grands esprits du Japon. »Lut-il à voix basse.

-Tu entends ça maman? Je suis un grand esprit. Ironisa-t-il.

Mais Sayu ne répondit rien. Excédée, elle posa son couteau sur le bar et leva les yeux au ciel. A travers la fenêtre, elle observa l'envol d'une majestueuse mouette blanche. L'oiseau plana un temps, de-ci, de-là, avant que son ombre ne disparaisse dans le firmament. Légèrement apaisée, la femme jeta de nouveau son regard dans la direction de son fils, avachi sur le bar, juste en dessous d'elle.

-Tu as pris tes cachets ce matin Yuki?
-C'est Yōki...
-Réponds à ma question. S'emporta-t-elle.
-Je les ai pris en me levant.
-Vraiment? Demanda-t-elle en sortant une boite de comprimés de sous le bar. C'est étrange parce que j'aurais juré qu'ils ont passé la nuit dans la cuisine.

Agacé par la discussion, le jeune homme quitta sa chaise de bar ferma la boite de céréales dans laquelle il piochait. Il se préparait à partir.

-Ils ne me font rien. Cracha-t-il devant l'insistance de sa mère.
-Ils t'apaisent Yuki.
-Non! Ils ne font rien d'autre que de me shooter à mort et tu le sais. Si tu veux prétendre le contraire, libre à toi mais je n'entrerai pas dans ton jeu.
-Ils t'empêchent de te nuire! Hurla Sayu. Et de nuire aux autres par la même occasion.

Yōki s'immobilisa. Il fixait sa mère les yeux pleins de haine, de rage. Il l'examinait avec le regard d'un démon.
Loin de se laisser intimider, Sayu ouvrit la boite de comprimés et en sortit deux cachets qu'elle posa sur la table à proximité d'un verre de jus d'orange qu'elle avait servi un peu plus tôt. Du bout des doigts, elle caressait le manche du couteau de cuisine dont elle s'était servi pour découper le tofu.

-Tu ne peux pas t'en passer, déclara-t-elle en baissant la tête, alors je pourrais être coulante sur beaucoup de choses mais pas sur ça.

Puis, relevant les yeux, elle ajouta:

-Je ne changerai pas d'identité toutes les semaines.

Bouillonnant de rage et le cœur à vif, Yōki se résigna tout de même à avaler les deux comprimés qu'il fit passer avec le jus d'orange.

-Fais voir. Lui demanda sa mère.

Sans sourciller, il ouvrit grand la bouche afin de lui montrer qu'il les avait bien avalés. Lorsqu'il l'eut refermé, il sentit le dos de la main de Sayu lui caresser la joue.

-Tu sais que je fais ça pour ton bien mon petit Yuki.

Le garçon examina le couteau qui trainait sur le bar puis recula d'un pas pour se libérer de la caresse de sa mère. Sans dévoiler la moindre émotion, il se retourna et commença à se diriger vers l'arche qui menait à l'entrée de la maison.
D'une voix aussi douce et calme qu'elle l'eut pu été si rien ne s'était passé, Sayu demanda à son fils:

-Tu ne veux pas un peu de soupe miso avant de partir à l'école? J'en ai préparé ce matin avec du bon tofu bien frais. Il te faut des forces pour ton premier jour! Tu ne vas pas y aller avec seulement quelques céréales dans le ventre?

Au moment de franchir l'arche, Yōki tourna sa tête à moitié et lâcha avec mépris:

-Tu devrais faire attention lorsque tu prépares du miso. Les couteaux que tu utilise sont très aiguisés et qui sait ce qui pourrait arriver si l'un d'eux devaient t'échapper des mains.

Un filet de sueur froide traça une ligne de sang dans le dos de Sayu.

-Quoi! S'exclama-t-elle. Qu'est-ce que tu veux dire... Yuki!

Mais le jeune homme avait déjà quitter la maison. Encore quelques instants et elle entendrait le rugissement de sa moto déchirer le calme du matin puis disparaître en s'éloignant.




Top Départ
Second chapitre de l'histoire de Yōki


A paraitre très vite Wink







Derrière l'écran (:


→ Ton prénom :
Yōki (et oui, très original, je sais :p)
→ TON AGE :
19 ans
→ Tu vis où ? :
Quelque part (ça, c'est sûr)
→ Comment as-tu découvert THS :
Top 50 des forum RPG manga
→ Qu'est-ce qui t'as attiré/incité à t'inscrire sur THS  :
L'ambiance, le designe, le nombre de personnage, la fréquence de post, etc...
→ Le code de validation :
Ahhh, je ne m'en souviens plus!!!! C'est "Wistiti a mangé tout le chocolat" je crois, mais je ne suis pas sûr de ne pas en avoir loupé un ou deux, je revérifierai Wink


Dernière édition par Yōki Yamaguchi le Jeu 17 Fév - 5:33, édité 56 fois
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Yōki Yamaguchi
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MessageSujet: Re: Yōki Yamaguchi (妖紀 山口)   Yōki Yamaguchi (妖紀 山口) Icon_minitimeMer 9 Fév - 6:40

OHAIO GOZAIMASU à tous! Smile Enfin à tous, surtout aux quelques modos qui auront peut être lu ce topic.
Je voulais juste vous dire qu'aujourd'hui j'avais un peu peaufiné ma fiche de personnage sur WORD mais qu'étant donné mon emploi du temps, je ne pourrais peut être pas poster tout cela d'ici 10 jours (délai normalement indiqué dans le règlement avant la suppression de la fiche de personnage). Je vous serais donc infiniment reconnaissant de m'accorder un petit délai.

MERCI d'avance et à bientôt alors. SAIONARA! ^^

P.S: Super forum au passage, j'adore vraiment l'ambiance et j'espère en faire bientôt partie intégrante.
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Ryuu Kurayami
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MessageSujet: Re: Yōki Yamaguchi (妖紀 山口)   Yōki Yamaguchi (妖紀 山口) Icon_minitimeJeu 10 Fév - 12:37

BANZAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII *SAute le pied en avant vers Yoki et fait voler le jeune homme dans le mur * Non mais c'est quoi ça ? è_é comment tu oses demander un délais en plus. On t'ouvre les portes de chez nous et encore il te faut trois ans pour dire un nom et ton age? Puis ton sexe ( bah quoi on sait jamais x) ) . Agenouille toi et excuse toi sur le champs @_@... *ok je sors <.<*3

Bienvenue au petite Yoki qui est plus vieux que moi de deux ans ( oui tu me le payeras, je t'aurais une jour è_é ) . Bon Courage pour ta présentation et pas de soucis pour le délais, on t'accorde le temps dont tu as besoin pour ta présentation Wink donc ne temps fait pas, ta présentation n'aura pas disparu à ta prochaine connexion . ( bh quoi ? tu m'as cru quand plus haut ? mais non t'a pas besoin de t'agenouiller What a Face )

Gros bisou What a Face cat
Ryuu la fonda-folle '-'
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MessageSujet: Re: Yōki Yamaguchi (妖紀 山口)   Yōki Yamaguchi (妖紀 山口) Icon_minitime

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Yōki Yamaguchi (妖紀 山口)

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